« Le jury de déontologie publicitaire [JDP] est pavé de bonnes intentions. Il n’est pas le seul. On sait où ça peut mener. Il ne s’agit pas nécessairement de s’élever contre l’autodiscipline qui appartient tellement à l’air doux de notre temps ni contre son extension procédurale, la déjudiciarisation, alors que les juges eux-mêmes cherchent si souvent à ne plus juger, à coup de médiation, de conciliation, de transaction, de plaider coupable, de droit collaboratif, tout ce qu’on appelle du joli nom de « mode alternatifs de résolution des conflits ». »
Article paru le 17 octobre 2013 dans Stratégies.